mardi 20 septembre 2011

Le fleuret

Son poids total est inférieur à 500 grammes.
Sa longueur totale maximum est de 110 cm.
La lame d'acier est de section quadrangulaire et de longueur maximum de 90 cm, sa flexibilité est réglementée, limitant la rigidité et la souplesse.
La coquille ronde doit avoir un diamètre compris entre 9,5 et 12 cm.
La poignée a une longueur maximale de 20 cm et doit satisfaire à des conditions de forme, de revêtement et gabarit.
Au fleuret électrique, la lame est terminée par un bouton marqueur électrique devant repousser un poids de 500 grammes.
Au fleuret non électrique, la lame est terminée par une «mouche» en plastique ou en caoutchouc.

Au fleuret, la surface valable est matérialisée par le torse, le dos et les épaules.
La surface valable exclut donc les membres et la tête. Le fleurettiste doit être capable de loger avec précision sa pointe face à un adversaire qui possède de nombreux moyens de défense ; avec son arme, action de parer ou en réalisant des esquives pour éviter la touche. Il peut aussi utiliser les retraites (action de reculer) pour se défendre. Cependant le fleurettiste a l'avantage de pouvoir profiter de la règle de convention qui peut lui donner la priorité grâce à l'action de l'attaque. Cette convention favorise le jeu offensif et permet au fleurettiste de pratiquer l'échange avec les armes.

Le texte et les images proviennent du site de la FFE


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L'épée

Son poids total est inférieur à 770 grammes.
Sa longueur totale maximum est de 110 cm.
La lame en acier est de section triangulaire et de longueur maximum de 90 cm, sa flexibilité est réglementée.
La coquille ronde est plus grande (diamètre de 13,5 cm) et profonde (entre 3 et 5,5 cm) que celle du fleuret et le passage de la lame peut être excentré.
La poignée a une longueur maximale de 20 cm et doit satisfaire à des conditions de forme, de revêtement, de gabarit.
A l'épée électrique, la lame est terminée par un bouton marqueur électrique devant repousser un poids de 750 grammes.
L'épée est une arme blanche, faite pour la main, avec une lame droite à deux fils de pointe.

A l'épée, la surface valable est matérialisée par l'ensemble du corps, du bout des pieds jusqu'à la tête.
L'épéiste doit être capable de toucher son adversaire en utilisant des cibles restreintes comme la main, le pied que l'on nomme communément les « avancées ». Toucher aux avancées est difficile, ce qui oblige l'épéiste à être très précis. Le match peut durer pour obtenir quelques points, l'adversaire utilisant facilement la contre attaque ou la défensive pour toucher. Il est difficile de loger une attaque, il faut donc bien préparer ses actions et surtout être capable de deviner le jeu adverse.
Les actions destinées à toucher au corps demandent une grande capacité de vitesse d'exécution.
Le texte et les images proviennent du site de la FFE